Les Filles du Web

Des Clous !

« Des présentations correctes auraient commencé par « Bonjour, je m’appelle Aurore… », ce à quoi vous auriez répondu en coeur « Bonjouuuuuur Auuuuroooooore! », on aurait chacune parlé de nos problèmes existentiels à savoir « je ne sais jamais quoi mettre demain pour aller à l’école/est-ce qu’il me trouve belle/pourquoi ai-je mal au ventre une fois par mois » et bien d’autres sujets encore (la ressemblance avec une réunion d’alcooliques anonymes est totalement fortuite).

J’aurais ensuite pu vous parler de ce jour béni, il y a déjà 5 ans, où mon banquier m’a dit « ahhh la majortié! Je me souviens de mes 18 ans, on buv… heu, enfn, bref, je vous remets votre première carte bleue mademoiselle! ». Que d’émotions…

 

Entrons plutôt dans le vif du sujet, ce qui nous lie toi et moi: la mode. Plus particulièrement d’une tendance de cet hiver: les clous. Pas ceux que papa a dans son armoire à bricolage, non, ceux qui sont jolis.

Cruel dilemme : comment rester élégante en portant des clous?  D’abord, on ne choisit pas une tendance juste parce qu’elle est tendance, c’est ridicule. On la choisit parce qu’elle nous a fait un boum dans le coeur, comme le nouveau prof de gym trop beau (ouais ouais ben de mon temps, on disait gym, pas EPS).

Ensuite, on évite de surcharger son look : « trop de look tue le look », c’est bien connu. On choisit une seule fringue, un seul accessoire avec des clous. Pas deux, j’ai dit un. Et si possible, on reste sobre dans la tenue. Le but étant d’être fun mais d’être féminine. Ce que j’aime et ce que je te conseille, c’est de t’amuser, de décaler. J’adore décaler mes tenues, et les clous sont le parfait exemple. On choisit une robe sage ou un jean brut : des basiques qu’on peut mélanger avec des accessoires plus fun. Sur une robe, on peut acheter un sac clouté, des ballerines cloutées, par exemple. Avec un jean brut, on pourra choisir un t-shirt à clous : on achète un t-shirt le plus simple du monde en coton pas trop cher (la redoute, pimkie, H&M, …), et on achète des petites perles en forme de clous qu’on trouve dans les merceries ou les magasins de déco, et on s’amuse à les coudre où on veut! Libre à toi de choisir les formes, l’emplacement… Et surtout, c’est moins cher!

boots Gucci

 

                                                          Boots Gucci 08′

Je résume. Avec les clous, on évite : les imprimés rock pour ne pas tomber « premier degré », les colliers à pics du genre que tu mettrais même pas à ton chien, les couleurs aggressives.
On fonce sur: les clous discrets de couleurs, dorés ou argentés patinés/vieillis, sur ebay (on tente aussi ebay anglais, et on tape « studded clothe/bag/shoes/belt/t-shirt…), sur la customisation, sur le décalage entre petite robe sage et sac à clous, sur la sobriété,les couleurs neutres et douces, sur une seule pièce « phare » cloutée.

En pratique, ça donne ce genre de look: D’abord, on choisit « la » pièce cloutée de la tenue. Ensuite, on meuble autour: un t-shirt blanc, un jean brut (slim, flare, droit…)

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« Pièce phare: Sac Fendi
Basiques: T-shirt et jean Topshop
Le reste: Perfecto All Saints et veste Topshop – Bottes plates Topshop et low boots Guiseppe Zanotti »

 

Mes conseils d’achat: On fonce sur ebay (y compris ebay anglais), on dit à ses parents que les sites anglais cités sont sûrs et fiables (approuvés et testés par moi-même), on fouille dans toutes les boutiques la perle rare, on n’y met pas une fortune si on sait qu’on est une fille changeante, on customise à fond les ballons ses t-shirt, chaussures, sacs… grâce aux clous trouvés en mercerie et magasin de bricolage/loisirs créatifs et… On s’A-MUSE!


accessoires

 

1. Manchette Rushcollection
2. Low boots Gucci
3. Bracelet Promod
4. Boucles d’oreilles Accessorize
5. Gants Mango
6. Ballerines Gargyle
7. Bague Asos
8. Sac Pimkie
9. Pochette et sac April First
10. Bracelets Asos
11 & 12. Sac et pochette Antik Batik

 

 

 

Quand le moral est down…

Petite déprime hivernale ? Mauvaise passe ? Impression que rien ne marche ? Chutes du Niagara lacrymales ?déprimée

Allons, allons, mouchez-vous comme une bonne petite fille et lisez le mode d’emploi en cas de détresse émotionnelle .

I ) Tout d’abord, il faut mettre des mots sur votre douleur. Verbalisez votre mal-être : même à coups de grossièretés, on s’en fout. Mais pas avec n’importe qui malheureuse ! Ne balancez pas au premier policier qui passe que « les flics, c’est tous des cons ! », sous prétexte que votre ressentiment doit s’exprimer. Choisissez une personne qui pourra vous écouter avec empathie et sans jugement : une amie par exemple. Mais attention, là encore, pas celle qui vient de rater un exam’ ou qui s’est fait plaquer il y a deux jours…

 

II) Acceptez de régresser, mais de façon temporaire. Coocooner dans son lit, la télécommande dans une main, le pot de Häagen-Dazs dans l’autre : OK. Mais pas plus de 24 heures sinon, ce n’est plus une déprime mais la vraie grosse dépression qui va s’installer. Et le risque de vous retrouver dans « Confessions Intimes », votre mère ne supportant plus de vous changer encore à l’âge de vingt-deux ans.

 

III) Sortez de chez vous. Forcez-vous à prendre l’air tous les jours, même s’il fait froid, qu’il gèle et qu’il vente. Et de préférence le matin, le soleil matinal étant bénéfique pour le moral. Si temps pourri de chez pourri, essayez la luminothérapie. Super pratique, la lampe PHILIPS EnergyLight vous fournit la lumière naturelle dont vous avez besoin, à tout moment de la journée. 30 minutes d’exposition pendant quinze jours et hop ! vous voilà reboostée !

 

IV) Créez. Nul besoin d’être Léonard de Vinci ou Balzac, vous n’êtes pas ici dans la performance. Faire un gâteau, écrire son journal intime, un blog, dessiner, peindre, coudre, maquiller les morts ( considéré comme « art restauratif » en Belgique, préférez cependant une activité plus soft pour vous donner la pêche ) ou vos copines : tout le monde peut le faire, même en amateur. Tant pis si votre soufflé est raté, si vous faites des fautes d’orthographe, le principal étant de vous laisser aller.

 

V) Provoquez des occasions de rire. Au lieu de regarder Laurence Ferrari (ah, c’est vous ?) débiter les mauvaises nouvelles de la planète au journal télé, choisissez plutôt un film à effet Prozac : « Les Bronzés », « Y a-t-il un pilote dans l’avion ? », « The Party »… Repassez-vous également les sketchs des Inconnus et de Florence Foresti sur Youtube. Après avoir passé une bonne heure à vous tenir les côtes, vous vous sentirez déjà plus légère !

 

VI) Nourrissez-vous correctement. Même si le chocolat (noir, pas au lait !) vous est fortement conseillé compte tenu de sa teneur en magnésium (régule l’humeur), inutile d’y ajouter chips, pizzas, hamburgers, frites et gâteaux (ndlr : je vais vomir). Ce n’est pas non plus le moment d’entamer un régime : si vous êtes déprimée et que par ailleurs, vous vous frustrez volontairement, vous risquez de craquer au moindre problème et de vous dégoûter encore plus…

 

VII) Si vous pouvez vous le permettre, partez en voyage. Pas obligatoirement loin (« c’est l’Australie ou rien ! ») ni longtemps. Quelques jours passés en dehors de son cadre habituel permettent souvent de faire le point et de redémarrer sur de nouvelles bases. Bien aussi, les retraites spirituelles dans un monastère qui vous font prendre conscience des vraies valeurs et des vrais enjeux de la vie.

 

VIII) Enfin, last but not least, R-E-L-A-T-I-V-I-S-E-Z ! Comme le souligne Philippe Olivier, journaliste et poète, dans son livre « Les 1000 et 1 secrets pour être heureux »(Ed. De Vecchi) : « Sauf cas extrêmes, aucun moment de la vie n’est si « noir » qu’il ne laisse la place à un minimum de joie. Encore faut-il se donner les moyens d’en reconnaître l’existence et de la savourer comme telle. »

Les crèmes pour jeunettes

Ce n’est pas parce qu’on n’a pas encore de rides qu’il ne faut pas protéger sa peau au quotidien ! La pollution, le soleil (même l’hiver), le stress génèrent des radicaux libres qui accélèrent le processus de vieillissement cutané, provoquant rides et tâches prématurées.

Alors, si vous ne voulez pas vous retrouver avec une vieille peau toute fripée à cinquante ans, tartinez-vous la bobine avec l’une de ces crèmes spécialement formulées pour vous !

 

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Gossip Girl

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1) Superdefense SPF25 

Clinique, 50 ml; 47€

2) Derma  Genèse  Jour

L’Oréal, 50 ml; 19,89€

3) Fluide Aquaprotecteur  

Esthederm, 50 ml; 60€

4) Multi Recharge

Biotherm, 50 ml; 50,20€

5) Hydra Source

Cosmence, 50ml; 18,90€

6) Gel crème hydratant Control Shine

Nivea Visage Young, 75ml; 4,85€

 

 

 

 

 

Etre un enfant star à Hollywood

shirleyAlors qu’en France, le phénomène « enfant star » n’a jamais suscité autre chose que réticences et mépris, s’il est bien un pays où l’on célèbre sans honte, parfois juqu’à l’excès, les aptitudes exceptionnelles d’un enfant, c’est bien les Etats-Unis.

Entre hochets, paillettes, poupées et dépression, portrait d’une exception américaine pas vraiment admirable.

 

Bien sûr, nous avons eu Jordy, Anne et ses chansons Disney, les Ministars, et même plus récemment, Jean-Baptiste Maunier, le jeune acteur principal du film « Les Choristes ». Tous ont connu le succès, parfois même interplanétaire, comme pour Jordy; tous ont goûté au délice de l’adulation des foules; mais acucun, non, aucun d’entre eux n’a jamais vécu ce qu’un enfant américain doit supporter lorsqu’il est placé, bon gré mal gré, devant les flashs des projecteurs.

A l’origine, 99 fois sur 100, il faut bien admettre que tout vient des parents, de la mère en particulier. En mal de notoriété et aussi de dollars, ces mères maquerelles (Dina Lohan, Lynne Spears) à l’ambition féroce n’hésitent pas à exposer leur progéniture dès leur première dent de lait.

 

Ainsi, alors qu’elle donne la réplique au plus célèbre des extra-terrestres, E.T, en 1982, Drew Barrymore a déjà une longue carrière derrière elle, débutée avec le tournage d’un spot publicitaire à l’âge d’un an. Projetée dans un milieu aux moeurs plus que douteuses, elle devient alors alcoolique à 9 ans, droguée à 10 ans, et entame une cure de désintoxication à 13. Rendant responsable sa mère de tous ses déboires, elle refusera de lui parler pendant plusieurs années avant de se réconcilier avec elle en 2001.

Enfant acteur également, c’est à l’âge de dix ans que Macaulay Culkin devient mondialement célèbre avec le film « Maman, j’ai raté l’avion », sorti en 1990. Le succès est tel qu’il devient le petit acteur le mieux payé au monde, provoquant, de fait, une incroyable bataille juridique entre ses parents lors de leur séparation, chacun revendiquant la garde de l’enfant et surtout, la gestion de ses biens.

Résultat : il est arrêté pour possession de marijuana en 2006 et à 28 ans, il est déjà divorcé depuis 8 ans.

Mais l’exemple le plus flagrant de cette starification à outrance des enfants et de ses effets délétères, c’est sans conteste le « très étrange » mais non moins génial Michael Jackson.

Dès son plus jeune âge, au sein des Jackson Five, il devient le chouchou adulé et adoré du public. Coaché par un père tyrannique qui n’hésite pas à le battre, c’est à l’adolescence que Michael commence à être obsédé par son apparence, et en particulier son nez, sur lequel il fait une fixation.

S’en suivent alors plusieurs opérations esthétiques, jamais totalement avouées, mais rendant au fil du temps la star méconnaissable. Incapable de grandir, il avoue lui-même dans une chanson de l’album History, « Have you seen my childhood? », que son enfance malheureuse est à l’origine de tout.

 

 

Il faut croire que c’est culturel : les américains adorent les enfants qui jouent aux adultes. Pas dans la cour de récréation cependant : ça ne leur suffit pas. Essayer les chaussures de sa maman et se déguiser comme le fait Sophie Marceau dans « La Boum » n’est pas assez pro. Il leur faut du lourd, du bien clinquant qui puisse susciter les regards d’admiration et les « oh ! » exclamatifs de l’américain moyen.

Il suffit de jeter un coup d’oeil sur ces concours sordides de « Mini Miss ». Regardez-les ces pauvres petites : maquillées comme des voitures volées, entraînées à sourire et à séduire alors qu’elles devraient jouer avec leur barbie.

Au lieu de ça, elles l’incarnent.

Propulsées sur la scène, terrifiées à l’idée de perdre l’amour de leurs parents, elles prostituent alors malgré elles leur âme d’enfant…

 

N portman


Heureusement, c’est vrai, malgré tous ces exemples de parcours cabossés, il existe quelques rares exceptions à Hollywood où, malgré la pression et l’argent en jeu, la tempérance a su l’emporter sur la décadence. Mais honnêtement, combien sont-elles ?

Bien qu’elle ait débuté sa carrière à deux ans, Jodie Foster n’a en effet jamais perdu pieds avec la réalité, poursuivant au contraire ses études, jusqu’à obtenir un diplôme de littérature à la prestigieuse université de Yale. Elle poursuit ensuite une brillante carrière au cinéma, couronnée par un Oscar, en 1988, pour son rôle dans le film « Les Accusés ».

De son côté, la jeune Nathalie Portman, qui a débuté auprès de Jean Reno dans « Léon », continue également son petit bonhomme de chemin sur les sentiers de la gloire, laissant de côté les pétages de plombs « britneyspearsiens » pour mieux se consacrer à ses études. Elle obtient d’ailleurs un diplôme de psychologie à l’université d’Harvard en 2003.

Pendant un moment, on aurait aussi pu ranger dans cette catégorie la gentille Kirsten Dunst (qui a joué dans « Entretien avec un vampire »à l’âge de 11ans), mais c’était sans compter sa cure de désintoxication en 2008, officiellement pour soigner « une dépression »…

 

Comme quoi, à Hollywood, il y a vraiment un temps pour tout.



Britney Spears : la gloire et les larmes





 

S’il y en a une qui a gobé le micro plus que le biberon, c’est bien notre Brit-Brit! Pour le meilleur et pour le pire… Il faut la voir chanter toute gamine à « Star Search » pour deviner la suite : succès mondial et dépression nerveuse.Du haut de ses dix ans, elle chante « Love can build a bridge » avec des attitudes de vieille chanteuse torturée. Il n’y a déjà plus rien d’enfantin chez elle. Malaise pour tout le monde, sauf une fois encore pour les amerlocs et surtout, maman Spears !

 

Sentant le magot, elle inscrit sa fifille à tous les castings possibles et inimaginables, avec l’espoir de décrocher un contrat. Banco en 1992 avec le Mickey Mouse Club ! Puis Super Banco en 1998 avec la maison de disques Jive Records !

La pauvre Britney n’aura donc passé son enfance et son adolescence qu’à se dandiner devant les foules… »C’est Britney qui voulait ! » lance lâchement la marâtre. « Mais euh…bon… c’est vrai qu’elle a peut-être commencé trop jeune… » ajoute-t-elle, repentie.

MEA CULPA.

Mais au fait, à quelle occasion la mère de Bitney s’est-elle exprimée sur le sujet ? Dans un confessionnal ? NEIN!

C’est dans le « Today Show », sur NBC, en septembre dernier, que Madame Spears est venue conter les affres et les turpitudes de sa célèbre fille.

Toujours âpre aux gains,  celle-ci a en effet sorti un bouquin (torchon) pour « set the record straight » comme ils disent là-bas. Pas avare de confidences, on y apprend que Britney a commencé à boire à l’âge de treize ans, et qu’elle a perdu sa virginité à quatorze avec un joueur de foot de quatre ans son aîné.

« On s’entend beaucoup mieux maintenant » nous assure Lynne Spears.

 

C’est clair que des confidences comme celles-là, ça resserre les liens.

 

Kate Moss à la loupe !

Si l’on part du principe manichéen selon lequel, dans la vie, il y a d’un côté le bon, et de l’autre côté le mauvais; alors on peut également dire que dans le monde merveilleux des stars, il y a d’un côté les bonnes photos, et de l’autre, ben… euh…, les mauvaises.

Je crois que c’est la première fois que je tombe sur une photo aussi ratée de l’icône de la mode. A vrai, dire, au tout début, je n’ai même pas voulu croire que c’était elle…

Imaginez ! La sylphide poids plume, ex copine de Johnny Depp, égérie de Chanel, Yves Saint Laurent, Longchamp et j’en passe, top model star des années 90, n’était en fait qu’une imposture? Impossible!

Et pourtant… A voir ce visage émacié, ridé comme une vieille pomme, ces pommettes luisantes et cet énorme bouton-sans-âme, on ne peut que se poser la question…

O.K. vous allez me dire que c’est une photo de paparazzi, prise en pleine bousculade dans l’aéroport ou à la sortie d’une boîte, mais quand même! Comme si ça justifiait d’avoir une tête pareille !

Cette nana nous vend de la beauté et du glamour à longueur de pub, accentuant le côté « je-ne-suis-pas-comme-vous » en refusant toute interview, nous condamnant, pauvres petites mortelles, à tenter fébrilement d’atteindre par tous les moyens cet idéal qu’elle nous impose.

Ne pourrait-elle donc pas faire l’effort de déposer un léger filet de rouge sur ses délicates lèvres avant de sortir? Juste pour prolonger le rêve un tout petit peu, histoire de se dire que nous n’avons pas été prises pour des connes pendant toutes ces années…

Apparemment, Mademoiselle MOSS n’en a que faire : I JUST DON’T GIVE A F…!!! sembe-t-elle nous dire à travers cette photo. Oui, c’est ça. Rien à foutre de ce que vous pensez de moi, rien à foutre de sortir sans maquillage, rien à foutre de ne pas faire rêver. Rien à foutre, puisque je suis KATE MOSS !

Bah tu sais quoi Kate, j’aimerais te dire quelque chose: la prochaine fois que je te verrai dans un magazine, tournicoter dans ta robe TOPSHOP, j’arracherai la page.

Parce qu’après tout, tu vois, moi aussi, J’EN AI RIEN A FOUTRE!