Les Filles du Web

Bons plans

Aidons les Sapeurs Pompiers !

Voici enfin le premier calendrier sexy et français des soldats du feu.
Il est disponible sur http://www.jonas-photos.fr

Pour chaque calendrier vendu, 1€ sera reversé à l’oeuvre caritative des Sapeurs Pompiers de France.
Cette association vient en aide aux familles des Sapeurs Pompiers décédés en service commandé.
Aidez-nous à leur faire le plus gros don possible!

Bonne visite sur le site…

Et n’oubliez pas, ils ne sont là que pour votre plaisir!

 

Les soldats du feu

Ghislaine de Carli: une medium qui a pris son envol…

L'envol Ghislaine de Carli est medium et pratique l’écriture automatique. Nous lui avons demandé de nous raconter son parcours et de nous présenter le jeu de cartes qu’elle a créé, l’Envol, afin que nous puissions, nous aussi, développer notre intuition et tenter d’appréhender notre avenir.

 

Les filles du web : Ghislaine, vous êtes médium, pourriez-vous nous explique en quoi cela consiste?

Ghislaine de Carli : Le médium est relié par l’au-delà à un guide (en général une vieille âme) ou par des voix familières ou inconnues qui transmettent par clairaudience ou par écrit des messages personnels (famille, entourage, amis (es) relations,clients) ou mondiaux que le médium doit traduire par des mots, des symboles des phrases des situations où des évènements qui vont se produire. Il lui faut assembler les mots ou les symboles, des codes, des signes, des phrases ou des situations logiques afin que les personnes concernées puissent en avoir une traduction (rationnelle).  

 

Les filles du web : Quelle est la différence avec la voyance?

Ghislaine de Carli : Le médium travaille sans filet: il entend, il écrit, il reçoit des messages parfois éprouvants. C’est de la voyance pure. Il a des rêves prémonitoires personnels ou mondiaux, ressent des symptômes de maladie, les accidents, les joies, les peines des gens, des animaux et parfois, est impuissant à les communiquer (tours des Etats Unis) par exemple à qui, pourquoi, comment. Le ou la voyante à des flashs, ressent également des évènements, mais travaille avec des supports (cartes, pendule, marc de café, boule de cristal etc.).
Le médium est livré à lui-même. Ce travail se fait souvent dans la solitude, le recueillement, la méditation. C’est une vocation, un travail également.

 

Les filles du web : Faut-il avoir un don pour être médium?

Ghislaine de Carli : Oui, il faut avoir un don. Comme pour un artiste, ce don se développe, se travaille, se peaufine avec l’acquis et l’expérience. N’est pas médium qui veut. Le don vient sans qu’on le désire. Il ne se transmet pas. C’est un guide qui le décide et on se doit de l’accepter ou pas.
Nous avons tous un destin et des destinées. Le médium se doit par son don, de guider, d’éclairer les personnes qui sont en difficultés. Il peut parfois être impuissant face au destin des gens ou prendre du temps afin de les conduire vers des destinées meilleures que leur destin tracé au départ. C’est son rôle de voir, d’entendre et de transmettre ce que son guide lui donne comme éléments afin de faire avancer, évoluer les personnes qui viennent le consulter.

 

Les filles du web : Quand et comment avez-vous su que c’était là votre voie? Pouvez-vous nous en dire plus sur l’écriture automatique?

Ghislaine de Carli : Depuis toute jeune, je suis subjuguée par la lecture des cartes. Je me suis mise à les traduire seule, sans livre et j’ai pris des photos d’artistes, de vedettes et de personnalités afin de pouvoir m’exercer. Puis ce fut au tour de ma famille, de mes amis (es) et relations à qui j’ai pu prédire des évènements qui se sont révélés exacts. Puis, j’ai eu un accident de voiture très grave (coma) et au sortir de celui-ci, une voix très ferme m’a ordonné d’écrire. Ainsi est venue à moi l’écriture automatique. Tous les soirs, je m’y suis entrainée et j’ai pu ainsi avoir des symboles, des mots, des phrases, des dessins que j’ai pu retranscrire avec une logique. L’apprentissage a durée une année avant d’avoir des messages logiques. Je ne peux traduire l’écriture de mes clients que lorsque je les ai en face de moi. Elle me donne leurs blocages, le passé, le présent, mais en aucun cas l’avenir. C’est une forme d’analyse. Je ne vais vers le futur que lorsque j’ai pratiqué l’écriture. Bien sûr, lorsque les personnes ont une question a poser, je prends mon jeu de 32 cartes et demande par contre la question précise : ainsi je peux développer sa réponse. L’écriture est pour une consultation générale. Je pratique surtout le tarot Lenormand lorsque je fais des salons car mon guide refuse que je pratique l’écriture automatique en public.

 

Les filles du web : Avez-vous vécu des expériences angoissantes au cours de certaines séances?

Ghislaine de Carli : Oui. Je me souviens d’une en particulier qui a été très éprouvante car la personne qui est venue me consulter n’a pas cru en cette prémonition et est partie en claquant la porte. Je venais de lui annoncer que je sentais le feu et que ses enfants étaient en grave danger. Ce que je regrette, c’est que l’écriture ne m’ait pas donné d’autres éléments que de lui annoncer un danger sur ses enfants. Ils sont morts carbonisés. Elle est venue s’excuser après ce drame atroce. Etait-ce leur destin. Je n’ai aucune réponse. Pourquoi moi ? Vingt ans après ce drame je me sens toujours coupable. Mais la personne ne m’a pas entendue… Alors, j’ai compris depuis que c’était leur destin. Je sens le danger, peux le traduire, peux éviter certains drames mais pas d’autres. C’est très éprouvant……

 

Les filles du web : A quoi doivent s’attendre vos clients lorsqu’ils viennent vous consulter?

Ghislaine de Carli : Je fais en général des consultations complètes. Je demande aux personnes qui me consultent de se taire car lorsque les personnes parlent, cela retire la moitié de la consultation. Je fais également des consultations par téléphone que je prépare à l’avance et les gens me rappellent pour traduire leur consultation. Cela demande du temps, de la concentration. Avant chaque consultation, je fais une méditation, ce qui me met en état de concentration. Les gens viennent pour tout sujet qui les inquiète. Je n’ai pas plus de problèmes à gérer ou a éclairer que ce que l’écriture me donne. Mais, je crois qu’actuellement les personnes viennent consulter pour leurs amours ou le plan professionnel. La voyance ou la médiumnité ne peut faire de miracle, c’est un travail de complicité entre le praticien et le consultant et il faut de la confiance et de l’honnêteté des deux côtés.

 

Les filles du web : Est-ce que tout le monde peut consulter un médium?

Ghislaine de Carli : Non. Les personnes fragiles sur le plan psychologique, les personnes non prêtes à entendre ce que le médium va leur dire devraient s’abstenir. Mais c’est aussi au rôle du voyant ou médium de sentir leur fragilité et les diriger vers des spécialistes ou refuser la consultation.
Pour ma part, il m’arrive, si je ne ressens rien, mais c’est rare, d’envoyer un consultant chez un psychologue car je pense qu’il sera alors plus compétent que moi pour l’aider dans ses problèmes. Les gens s’attendent trop à ce qu’un voyant voit tout, mais il a lui aussi à faire un chemin et nous ne pouvons le faire à sa place. Nous ne sommes pas les gens du miracle. Les personnes ont parfois du mal à le comprendre et attendent du voyant ou médium qu’il règle ses problèmes. Nous ne pouvons que donner notre ressenti et les éclairer du mieux que nous pouvons. Cela peut paraître frustrant mais…

 

Les filles du web : Quels sont les critères pour reconnaître un bon médium?

Ghislaine de Carli : Les critères sont en général de voir certaines choses du passé et présent, avant d’aborder le futur.
Ne pas aller voir un médium qui est énormément médiatisé et qui vous prend votre salaire. Pour ma part, je suis contre l’audiotel et je me bats pour que cela cesse. Je ne dis pas qu’il y a de mauvais voyants, mais l’argent n’est pas gagné honnêtement et rapporte surtout aux organisateurs. J’ai fait un test une fois, je suis restée deux jours. C’est de l’exploitation pour ma part. Mais chacun est libre-arbitre et mon opinion n’est que personnelle. Cela me fait peur. Je suis de l’ancienne école comme je dis.

 

Les filles du web : Comment est né votre jeu de cartes: l’Envol ?

Ghislaine de Carli : L’Envol est né d’une longue analyse. J’ai fait les ébauches par l’écriture automatique, puis un ami aquarelliste me l’a peint. Ensuite, j’ai transformé les peintures sur mon ordinateur, avec mon intuition, des formes et des couleurs pour le rendre, je pense, un peu atypique et original.

 

Les filles du web : Peut-on se tirer les cartes soi-même?

Ghislaine de Carli : Oui, mais il vaut tout de même mieux éviter de le faire pour soi car l’on n’est pas objectif, ou bien il faut prendre du recul afin de rester dans la bonne direction. Les cartes étant un art, il faut être prudent car lorsqu’on les tire trop souvent, cela finit par embrouiller la situation ou les questions. Pour ma part, je conseille aux débutants de prendre des photos de vedettes et de personnalités et de noter ce qu’ils ressentent sur un cahier et d’attendre le résultat par voie de presse ou de radio.

 

Les filles du web : Que peut-on attendre de l’envol ?

Ghislaine de Carli : L’envol est destiné à la recherche intérieure, une réflexion, un questionnement, et pour qui veut un chemin de vie. Mais je l’ai créé aussi afin de développer au début l’intuition. Par ses multiples combinaisons, il peut aider à éclairer, guider les personnes qu l’utilisent. Les professionnels et les particuliers l’aiment bien car, pour eux il répond à leurs attentes. L’objectif de l’Envol est de monter un refuge pour les chats et autres animaux maltraités de ma région.
Les couleurs pour les professionnels et autres aident à la méditation des cartes. J’ai traduit des significations basiques afin que les gens dépassent les cartes et cherchent eux-mêmes leurs réponses.

 

Pour vous procurer le jeu L’Envol, direction le site internet de Ghislaine de Carli: http://www.ghislainedecarli.com

Le « Diana »: un appareil photo mythique

Le "Diana" Avis aux amoureux déchus du Polaroid en voie de disparition, les Lomograpy risquent bien de prendre sa place ! En effet, la célèbre marque de photographie a réussi à rééditer le légendaire « Diana ».

Revenons un peu en arrière… Début des 60’s, une petite société à Hong-Kong crée un appareil photo peu coûteux appelé « Diana », entièrement en plastique. A l’époque, un magazine de photo lui attribue le titre « de pire appareil photo jamais construit ». Vous l’aurez compris, il subit un échec total.
Dans les années 80, il réussit cependant à se faire accepter et devient même un objet culte, utilisé par des photographes de « Lo-Fi »( Low-Fidelity, en opposition à Haute Fidélité).
Cette petite merveille offre alors aux yeux des images douces et rêveuses, des couleurs sursaturées, et un côté imprévisible dans la façon de prendre des photos.
Au bonheur de tous, la réplique « Diana+ » voit le jour en 2007, pour laisser place en 2008 au « Diana F+ », qui possède un flash amovible et colorable grâce à des filtres.

Le numérique nous envahit (et nous avons déjà pu le constater, cf article sur le Polaroïd) alors soyons originales, et revenons à quelque chose de plus simple, plus rapide. Retrouvons le charme de la photo qui nous fait trépigner d’impatience au moment du développement chez le photographe du coin!
Et puis, soyons logique, une photo unique, floue, aux couleurs improbables, vaut bien plus qu’une prise de tête à vouloir faire ZE photo de ouf avec les 36 boutons et options d’un reflex.
Le magasin Colette à Paris l’a bien compris puisqu’elle a revisité l’appareil en y ajoutant des petits pois et en le signant de son enseigne. Encore plus rétro, encore plus stylé. On le veut, AB-SO-LU-MENT !

Le prix ? Entre 50 et 95€ pour la version Colette. Ok, pour un appareil en plastique, c’est pas donné, mais le résultat est vraiment top, alors on fonce !

Vive le handmade !

Le handmade, c’est génial. Les New-Yorkaises l’ont bien compris, et ont remplacé leurs virées magasins par le fait-main. Fini les séances de shopping abusives et les soirées à poireauter à l’entrée du super resto dont tout le monde parle!

Flanquez à la porte surconsommation et plaisirs compulsifs, faites comme les habitantes de Manhattan et ne jurez plus que par le D.I.Y (Do It Yourself, fais le toi-même)!

La tendance culinaire du moment est aux « underground supper », ces fameuses soirées où une dizaine de personnes –via une mailing list- dînent dans l’appartement d’un particulier. Les cours de couture, tricot, fabrication de savons et chaussures sont également en pleine effervescence.
A l’heure où la crise bat son plein, il est temps de faire des économies. Plus besoin de dépenser des fortunes pour être bien sapée ou pour un bon dîner. Aujourd’hui, on aime se créer nos propres fringues et se différencier. En plus, tricoter, ça relaxe! (Pour tout savoir sur le tricot et commander un kit d’initiation, un site mortel créé par une bande de passionnées: woolandthegang)

 

Tricot

 

On ne peut évidemment pas parler du handmade sans parler d’Etsy, l’Ebay du fait main. Le handmade s’est largement développé grâce à Internet et aux nombreux blogs et ouvrages sur le thème du fait main. Etsy est un site génialissime qui à révolutionné le mouvement. Créé par un New-Yorkais de 28 ans, il attire plus d’un million de vendeurs et d’acheteurs de pièces handmade. On y trouve de tout : mode, déco, papeterie, vintage…
Etsy est pour l’instant en anglais, mais devrait bientôt basculer également en français. Le service est payant mais pas hors de prix : comptez 20 centimes pour une annonce, et une commission de 3,5 % par vente. C’est vraiment un site parfait pour les nanas en quête de pièces inédites à petits prix et pour les créateurs.

 

Sac Helen Rochfort

Soyez originales, vous aussi adoptez la Do It Yourself attitude !

La course aux Polaroïds !

Polaroid Catastrophe… Les stocks de Polaroïd se sont épuisés depuis l’arrêt de la production, en février 2008. A l’heure du tout numérique, le fabricant américain a décidé d’abandonner le mythique appareil photo et la fabrication de pellicules.

Pas de panique,  il en reste de grandes quantités dans le monde, toujours en état de marche. Parce que oui, le numérique est bien plus économique en frais de pellicules, mais il n’a pas le charme du Pola qu’on aime tant : couleurs douteuses ou baveuses et taches maronnasses près des bords blancs…

Un des atouts majeurs de la photo Polaroïd reste encore la rédaction de petits commentaires sur la bande blanche prévue à cet effet.  Du genre : Marion et son verre de trop, 12/07/09. On est fan.

Ebay est un bon moyen de trouver de vieux polaroïds, à des prix dérisoires. Attention cependant à ne pas tomber sur des appareils défectueux. Sinon, il reste toujours les brocantes, vous pouvez trouvez la plus proche de chez vous en un petit clic sur Internet.

PogoIl faut savoir que Polaroid a décidé de faire sa révolution 2.0 avec un nouvel appareil, la PoGo, 1ère imprimante numérique instantanée, sans encre et sans fil, pour partager nos photos illico. On envoie directement ses clichés vers une imprimante de la taille d’un paquet de clopes, en mode bluetooth ou par câble, depuis son mobile ou son appareil photo. Les impressions se font sur papier autocollant, c’est le côté sympa de cette petite invention. Cependant, les images sont nettes et sans bavure, donc pour le côté authentique, c’est raté. Le prix est de 130 euros et 8 euros les recharges de 30 feuilles autocollantes.

 

 

On a toutes les raisons de ne pas délaisser le Pola. Le côté retro, le plaisir de l’instantané…  Sans compter que niveau déco, ça donne tout de suite un côté pas banal à vos murs. Foncez donc dénicher la perle rare et rendre vos potes verts de jalousie !