Les Filles du Web

Month: juillet 2009

Le cinéma en plein air !

Envie de profiter de ce beau temps et pourtant fan de cinéma ? Rassurez-vous, il est possible de combiner les 2. Imaginez-vous, en train de déguster cette délicieuse glace goût vanille avec votre bande de copines, allongée dans l’herbe verdoyante, et bavant devant Johnny Depp en tenue de pirate…  La parfaite combinaison.

cinéma en plein air

Cette année, Du 15 juillet au 16 août 2009 et sur les pelouses du Parc de la Villette, se déroule la 19ème édition du Festival du Cinéma en Plein Air, avec le thème de la découverte du « Nouveau monde » à la découverte de soi, du voyage métaphorique au parcours initiatique.
Le film commence en moyenne vers 22h30. Il est donc recommandé d’emporter dans votre sac des couvertures (sauf pour celles qui comptent profiter de la situation pour demander à un bel étalon de vous prêter la sienne…)

Les plus malines viendront vers 19h30, non-seulement pour avoir les meilleures places, mais également pour avoir le temps de manger quelques gourmandises et siroter un petit apéro.

Le must du must : votre séance ne vous coutera rien, sauf si vous exigez un transat et une couverture. Elle est pas belle la vie ?

Ha, et une dernière chose, tous les films sont en V.O, rien de mieux pour perfectionner votre british !

Informations Pratiques :

Acces et film gratuits
Location transat et couverture : 5€ / Carte Villette : gratuit

Comment s’y rendre :

•    Métro : Ligne 5 direction Bobigny-Pablo Picasso, station Porte de Pantin
•    Métro : Ligne 7 direction La Courneuve, station Corentin Cariou (il faut traverser tout le Parc de la Villette)
•    Voiture : Paris 19ème – Porte de Pantin, le parking public (payant) de la Cité de la Musique fait généralement un forfait pour la soirée
•    Vélib’, à pieds, en rollers ou autres trottinettes : à hauteur du 229 de l’avenue Jean Jaurès – Paris 75019

Comment se repérer dans les friperies ?

Friperie Pour celles qui ne connaissent pas, il faut tout d’abord préciser qu’une friperie est un lieu où l’on rachète des vêtements et accessoires d’occaz’.
Il faut savoir que la plupart des friperies s’accompagnent en général de poussière et d’odeurs de vieux. Il faut donc avoir le cœur bien accroché.

Mais plus jeune, vous avez surement dû entendre votre mère dire, en vous arrachant la moitié des cheveux avec cette foutue brosse, devant le « Club Dorothée », il faut souffrir pour être belle ! Et bien si, elle à raison maman. Si on accepte de prendre le temps de bien tout fouiller, que l’on a l’œil et si on supporte bien l’odeur de grenier, on peut faire de très bonnes affaires dans les friperies et même dénicher de petites perles.
Vêtements de grandes marques de luxe, vêtements anciens parmi des vêtements sans intérêt, articles triés et classés plus ou moins chers, pièces rares et matières inconnues au bataillon. Si ça vous barbe de porter la même robe H&M que Noémie ou les mêmes pompes Zara que votre ennemie jurée Sandra, voici les bonnes adresse parisiennes de friperies :

Pour celles qui souhaitent dénicher les bonnes affaires, voici quelques bonnes adresses parisiennes :

Friperie : Guerrisol
Métro : Anvers
Choix : Immense choix
Prix : Très bas
Adresse : 17 bis bd Rochechouart dans le 9ème, 29-31, avenue de Clichy, 22 bd Poissonière, et 21 bd Barbès

Friperie Freep’star
Métro : Hôtel de Ville
Choix : très grand
Prix : Robes à partir de 10 euros, ceintures à 5 euros…
Adresse : 8 rue Sainte Croix de la Bretonnerie et 61 rue de la Verrerie Paris 4ème

Friperie : Come On Eileen
Métro : Bastille
Choix : pour tous les goûts et tous les styles, mais principalement 70s’ et 80s’
Prix : de 20 à 300-400 euros pour des pièces de grandes marques
Adresse : 6-18 rue des Taillandiers Paris 11ème

Friperie : Vintage
Métro : Saint Paul
Choix : Petite boutique mais grand choix
Prix : Robes à partir de 10-15 euros, chaussures 15-20 euros, bottes 40 euros
Adresse : 32 rue des Rosiers Paris 4ème

Pour les paresseuses, qui n’ont pas envie de fouiller :

 

Friperie et boutique mode Kiliwatch
Métro : Etienne Marcel
Taille : Une grande boutique où se mélangent neuf et fripes
Choix : La sélection très axée tendances et bien triée par style
Prix : Bien plus cher que les autres friperies
Adresse : 64 rue Tiquetonne Paris 2ème

Friperie des Galeries Lafayette V.O.
Métro : Opera
Choix : Limité, c’est un petit stand des Galeries Lafayette , mais grand choix pour les chaussures
Prix : Plus cher que les autres friperies mais reste intéressant
Adresse : sous-sol des Galeries Lafayette bd Haussmann Paris 9ème

Friperie et boutique rock Noir Kennedy

Métro : Saint Paul
Choix : Tendance rock, on y trouve de belles pièces propres et du neuf (jeans Cheap Monday…) mais seule une petite partie de la boutique est consacrée au vintage
Prix : Cher pour de la fripe
Adresse : 12 et 22 rue du Roi de Sicile dans le 4ème

 

Ycare, au bord du monde chez soi ?

C’est un prénom que peu de personnes doivent porter mais il s’agit bien du prénom de notre bellâtre. Enfin, après quelques mois de suspense intense (ou pas, si vous avez oublié), le petit fou de la Nouvelle Star fait son show dans son album: Au bord du monde

Ycare

C’est un peu une découverte du nouvel Ycare, car, avouons-le, on est plutôt séduit en entendant le premier single, Alison sonne sonne … Fallait trouver n’empêche, ce petit refrain qui, avouons-le, reste bien dans nos petites têtes. Ce single apparaît simple, avec une voix rocailleuse, assez surprenante pour le chanteur qui ne nous a pas habitués à cela. Comme nous, cela vous fait peut-être penser à un jeune chanteur qui imite un vieux chanteur …

Oui, mais, l’album alors ? Et bien, que dire à part que cela a du style. Humm, est-ce pour autant suffisant ? Très bonne question, en philosophie, il faudrait deux parties : oui, non puis une synthèse. D’accord, nous n’allons pas nous lancer dans ce résonnement, mais tenter de vous décrypter l’album.

Opus en 10 titres, 40 minutes d’Ycare vous sont offertes. On démarre avec Alison. Bon là, vous connaissez la chanson, le clip et les paroles. Votre avis sur cette chanson doit être déjà forgé. Elle est suivie de J’y crois encore, pas mal du tout, même si ressemblant à beaucoup d’autres chansons. S’ensuivent plusieurs titres : Aubépine, La Colombe et le Corbeau, Sainte Anne, des chansons qui s’écoutent bien. Pas des tubes, mais une bonne qualité, la simplicité, quelques accords de guitare, et une voix toujours rocailleuse.

Jusque là, on ne s’est pas encore endormi mais bon, on ne s’est pas passionné non plus pour le chanteur. Le titre L’étrangère j’veux qu’on baise vous reste couak ! Après des mélodies guitares, des solos vocaux, on arrive à une petite aventure. Etonnant ?!  La première écoute de ce titre est assez surprenante, et casse même un peu le rythme de l’album, bien que la musique soit au niveau.

Bon, plus que quatre titres… presque arrivé, si si. On entre dans le domaine des mélodies plus mélancoliques.

Que se passe t-il ? On ne va pas se petit suisse-ider (références les Nuls) quand même ? Non, mais c’est triste. Joli, mais triste. Et cela vous gâche un peu la bonne humeur qui vous animait jusqu’alors. Ah, on notera quand même les effets des mélodies plus rock.

Dernier titre, que disons-nous ? Pas un titre, mais un extrait d’ Ycare en acoustique, durant plus de onze minutes. Très bonne idée. Cela ajoute une touche de réel aux chansons écoutées avant. Même si la poésie au début nous attriste plus qu’elle ne nous motive, on entre dans les versions originales des titres. Cependant, n’espérez pas d’applaudissements dans ce live…
Dommage.

Rien d’autre à ajouter sinon. Si vous aimez vraiment, continuez : l’album est à la hauteur, mais ne touchera pas tout le monde.

Lily Allen nous montre (encore) ses seins !

Une info qui date de quelques jours mais qu’on avait zappée: Lily Allen a posé topless pour le magazine I-D.

Pas vraiment un scoop (qui a encore envie de voir les seins de Lily Allen?), mais une initiative bien calculée pour assoir sa notoriété.

Au fait, on a beau zoomer et rezoomer, aucune trace de son fameux troisième mamelon dont elle parle si souvent (ahlala, sont prêts à raconter n’importe quoi ces stars pour qu’on parle d’elles!)

3 films à voir

Harry Potter, G.I.Joe, Twilight… et les grands gagnants des festivals: voilà ce qui fait les têtes d’affiche actuelles. De grosses productions. Malheureusement, ce n’est pas forcément très agréable de s’enfermer dans une salle bondée, juste pour aller voir un film; surtout qu’en été, il est fréquent que les gens s’organisent une soirée ou une après-midi cinéma quand il fait trop chaud.

Une solution: compter sur les films dont le retentissement médiatique est moindre. Ce que l’on peut vous proposez, ce sont des films plus discrets, mais qui n’en ont pas moins de valeur et qui en ont peut-être même plus.

3 films, 3 scénarios originaux, mais une seule date de sortie: le 22 juillet!

La comédie française: La femme invisible, de Agathe Teyssier, avec Julie Depardieu. Plongée au coeur d’une aventure fantastique, Lili croit qu’elle est nulle et que c’est pour ça que les gens ne la voient pas: parce qu’ils ne font pas attention à elle. Puis, petit à petit, elle s’aperçoit qu’elle disparaît vraiment, qu’elle devient invisible. À la frontière du ridicule et de la folie, Lili nous entraîne au coeur de sa vie, pleine de surprises. Traitant de l’estime de soi, La femme invisible est un film au caractère surprenant. Curieuses en tous genres, lancez-vous!

L’original:
Brüno, de Larry Charles, avec Sacha Baron Cohen. Le créateur et héros de Borat est de retour, dans une comédie pleine de rebondissements. Sous ses dehors osés, sans limites et vulgaire, ce film renferme une véritable critique à travers les traits d’un personnage haut en couleurs, Brüno, homosexuel et roi de la mode, créé par Sacha Baron Cohen pour son émission « Da Ali G Show ». Un film délirant!

L’historique: Victoria: les jeunes années d’une reine, de Jean-Marc Vallée, avec Emilie Blunt (Le diable s’habille en Prada) et Rupert Friend (Chéri). Ce film retrace les premiers pas de la Reine Victoria. Sous une vue introspective, le scénario s’attache aux intrigues politiques comme aux sentiments de cette jeune femme, propulsée à 17 ans sur un trône qu’elle n’a pas souhaité. Le tandem Emilie Blunt/ Rupert Friend est lumineux, et donne une image dépoussiérée de la Reine Victoria et du Prince Albert. Un véritable plaisir!

 

La femme invisibleBrünoVictoria, les jeunes années d'une reine