Les Filles du Web

Britney Spears

Ce que Britney désire…

Britney Comme chaque popstar, quand elle part en tournée, Britney Spears établit une liste d’exigences à respecter par les hôtels dans lesquels elle descend.

Pour ses prochains concerts à Londres du mois prochain, le Dorchester Hotel devra donc mettre à la disposition de celle-ci :

– une chambre dans laquelle personne n’a « jamais » fumé

– un humidificateur d’air

– une sélection de magazines

– des DVD de films de Marilyn Monroe

– des ampoules de 100 Watts

– un plan des zones réservées aux joggeurs dans Hyde Park

 

Franchement, pour une star de son gabarit, on s’attendait à plus extravagant! Britney n’est finalement pas la diva que nous dépeignent les médias : )

Britney Spears dit merci à Photoshop!

Ah le progrès! C’est fou ce qu’on peut faire aujourd’hui avec un ordinateur et un logiciel de retouches photos!

Prenez notre amie Britney par exemple: à la base, un physique plutôt moyen; habituée des excès alimentaires (entre autres) en tous genres et régulièrement critiquée par la presse pour ses prises de poids conséquentes.

Si lors de son concert à Newark, le mois dernier, les photographes ne l’ont clairement pas épargnée, on peut cette fois dire qu’elle a mis tous les moyens de son côté pour assurer lors des prises de vue de la dernière publicité Candie’s

Un régime hyper-protéiné? Une gaine comme Jessica Alba? Une série d’abdos?

Ben non, juste photoshop…

 

Britney Spears

               Britney, le mois dernier, lors d’un concert à Newark

 

Britney SpearsBritney Spears

Britney, photoshopée à mort!

 

Brit-Brit à la Star Ac’

Mon myspace n’étant pas connu de tout le monde, il en sera de même pour mes dessins. Du coup au fil des jours, vous allez voir des nouvelles et des anciennes bd.
 
On commence par une histoire qui a beaucoup plu à Clara Clameur, la fondatrice de ce site : une jeune fille, en l’occurrence moi, fan refoulée de Brit-brit a pris son courage à deux mains, et s’est tapé 1h de Nikos avec des chanteurs croyant chanter ! Tout ça pour voir Mademoiselle Britney Spears !
Mais au final, j’aurais maté ses photos sur internet en écoutant son cd, ça m’aurait fait le même effet !
Oops ! Je suis pas gentille !

Britney Spears à la Star Ac'

Britney Spears recrute !

Avis à toutes et à tous : Britney Spears recherche un spécialiste du web 2.0 pour gérer tous ses comptes Facebook, Myspace, Youtube et Twitter.

Une annonce a même été publiée sur le site de recrutement de l’université d’Harvard.

Le salaire n’est pas précisé, mais on peut éspérer que l’heureux(se) élu(e) touchera plus que le smic.

 

Alors, c’est parti, balancez les CV !

 

Britney Spears

 

Etre un enfant star à Hollywood

shirleyAlors qu’en France, le phénomène « enfant star » n’a jamais suscité autre chose que réticences et mépris, s’il est bien un pays où l’on célèbre sans honte, parfois juqu’à l’excès, les aptitudes exceptionnelles d’un enfant, c’est bien les Etats-Unis.

Entre hochets, paillettes, poupées et dépression, portrait d’une exception américaine pas vraiment admirable.

 

Bien sûr, nous avons eu Jordy, Anne et ses chansons Disney, les Ministars, et même plus récemment, Jean-Baptiste Maunier, le jeune acteur principal du film « Les Choristes ». Tous ont connu le succès, parfois même interplanétaire, comme pour Jordy; tous ont goûté au délice de l’adulation des foules; mais acucun, non, aucun d’entre eux n’a jamais vécu ce qu’un enfant américain doit supporter lorsqu’il est placé, bon gré mal gré, devant les flashs des projecteurs.

A l’origine, 99 fois sur 100, il faut bien admettre que tout vient des parents, de la mère en particulier. En mal de notoriété et aussi de dollars, ces mères maquerelles (Dina Lohan, Lynne Spears) à l’ambition féroce n’hésitent pas à exposer leur progéniture dès leur première dent de lait.

 

Ainsi, alors qu’elle donne la réplique au plus célèbre des extra-terrestres, E.T, en 1982, Drew Barrymore a déjà une longue carrière derrière elle, débutée avec le tournage d’un spot publicitaire à l’âge d’un an. Projetée dans un milieu aux moeurs plus que douteuses, elle devient alors alcoolique à 9 ans, droguée à 10 ans, et entame une cure de désintoxication à 13. Rendant responsable sa mère de tous ses déboires, elle refusera de lui parler pendant plusieurs années avant de se réconcilier avec elle en 2001.

Enfant acteur également, c’est à l’âge de dix ans que Macaulay Culkin devient mondialement célèbre avec le film « Maman, j’ai raté l’avion », sorti en 1990. Le succès est tel qu’il devient le petit acteur le mieux payé au monde, provoquant, de fait, une incroyable bataille juridique entre ses parents lors de leur séparation, chacun revendiquant la garde de l’enfant et surtout, la gestion de ses biens.

Résultat : il est arrêté pour possession de marijuana en 2006 et à 28 ans, il est déjà divorcé depuis 8 ans.

Mais l’exemple le plus flagrant de cette starification à outrance des enfants et de ses effets délétères, c’est sans conteste le « très étrange » mais non moins génial Michael Jackson.

Dès son plus jeune âge, au sein des Jackson Five, il devient le chouchou adulé et adoré du public. Coaché par un père tyrannique qui n’hésite pas à le battre, c’est à l’adolescence que Michael commence à être obsédé par son apparence, et en particulier son nez, sur lequel il fait une fixation.

S’en suivent alors plusieurs opérations esthétiques, jamais totalement avouées, mais rendant au fil du temps la star méconnaissable. Incapable de grandir, il avoue lui-même dans une chanson de l’album History, « Have you seen my childhood? », que son enfance malheureuse est à l’origine de tout.

 

 

Il faut croire que c’est culturel : les américains adorent les enfants qui jouent aux adultes. Pas dans la cour de récréation cependant : ça ne leur suffit pas. Essayer les chaussures de sa maman et se déguiser comme le fait Sophie Marceau dans « La Boum » n’est pas assez pro. Il leur faut du lourd, du bien clinquant qui puisse susciter les regards d’admiration et les « oh ! » exclamatifs de l’américain moyen.

Il suffit de jeter un coup d’oeil sur ces concours sordides de « Mini Miss ». Regardez-les ces pauvres petites : maquillées comme des voitures volées, entraînées à sourire et à séduire alors qu’elles devraient jouer avec leur barbie.

Au lieu de ça, elles l’incarnent.

Propulsées sur la scène, terrifiées à l’idée de perdre l’amour de leurs parents, elles prostituent alors malgré elles leur âme d’enfant…

 

N portman


Heureusement, c’est vrai, malgré tous ces exemples de parcours cabossés, il existe quelques rares exceptions à Hollywood où, malgré la pression et l’argent en jeu, la tempérance a su l’emporter sur la décadence. Mais honnêtement, combien sont-elles ?

Bien qu’elle ait débuté sa carrière à deux ans, Jodie Foster n’a en effet jamais perdu pieds avec la réalité, poursuivant au contraire ses études, jusqu’à obtenir un diplôme de littérature à la prestigieuse université de Yale. Elle poursuit ensuite une brillante carrière au cinéma, couronnée par un Oscar, en 1988, pour son rôle dans le film « Les Accusés ».

De son côté, la jeune Nathalie Portman, qui a débuté auprès de Jean Reno dans « Léon », continue également son petit bonhomme de chemin sur les sentiers de la gloire, laissant de côté les pétages de plombs « britneyspearsiens » pour mieux se consacrer à ses études. Elle obtient d’ailleurs un diplôme de psychologie à l’université d’Harvard en 2003.

Pendant un moment, on aurait aussi pu ranger dans cette catégorie la gentille Kirsten Dunst (qui a joué dans « Entretien avec un vampire »à l’âge de 11ans), mais c’était sans compter sa cure de désintoxication en 2008, officiellement pour soigner « une dépression »…

 

Comme quoi, à Hollywood, il y a vraiment un temps pour tout.



Britney Spears : la gloire et les larmes





 

S’il y en a une qui a gobé le micro plus que le biberon, c’est bien notre Brit-Brit! Pour le meilleur et pour le pire… Il faut la voir chanter toute gamine à « Star Search » pour deviner la suite : succès mondial et dépression nerveuse.Du haut de ses dix ans, elle chante « Love can build a bridge » avec des attitudes de vieille chanteuse torturée. Il n’y a déjà plus rien d’enfantin chez elle. Malaise pour tout le monde, sauf une fois encore pour les amerlocs et surtout, maman Spears !

 

Sentant le magot, elle inscrit sa fifille à tous les castings possibles et inimaginables, avec l’espoir de décrocher un contrat. Banco en 1992 avec le Mickey Mouse Club ! Puis Super Banco en 1998 avec la maison de disques Jive Records !

La pauvre Britney n’aura donc passé son enfance et son adolescence qu’à se dandiner devant les foules… »C’est Britney qui voulait ! » lance lâchement la marâtre. « Mais euh…bon… c’est vrai qu’elle a peut-être commencé trop jeune… » ajoute-t-elle, repentie.

MEA CULPA.

Mais au fait, à quelle occasion la mère de Bitney s’est-elle exprimée sur le sujet ? Dans un confessionnal ? NEIN!

C’est dans le « Today Show », sur NBC, en septembre dernier, que Madame Spears est venue conter les affres et les turpitudes de sa célèbre fille.

Toujours âpre aux gains,  celle-ci a en effet sorti un bouquin (torchon) pour « set the record straight » comme ils disent là-bas. Pas avare de confidences, on y apprend que Britney a commencé à boire à l’âge de treize ans, et qu’elle a perdu sa virginité à quatorze avec un joueur de foot de quatre ans son aîné.

« On s’entend beaucoup mieux maintenant » nous assure Lynne Spears.

 

C’est clair que des confidences comme celles-là, ça resserre les liens.