Les Filles du Web

Month: septembre 2011

L’incroyable famille Kardashian(tes) de retour!

On pensait en avoir terminé avec elles, Kim aux grosses fesses ayant récemment épousé son (grand) basketteur, mais c’était bien mal connaître les femmes de la lignée! Toujours accros au mauvais goût, nos bombasses brunes en remettent une couche dans la nouvelle saison de l’Incroyable Famille Kardashian, à partir du 9 septembre sur E!. Et les bras nous en tombent!

(Mention spéciale à la doublure voix de Kim Kardashian qui fait très bien la fille qui pleure.)

 

Ailes de Feu: un roman fantastique

Tout juste paru aux éditions Baam, Ailes de Feu est un roman fantastique dans la lignée du Seigneur des anneaux et autres Harry Potter. Initiallement publié en 2004 en Espagne, pays de l’auteur, Laura Gallego Garcia, le succès fut tellement retentissant qu’il est désormais traduit en français ainsi que dans 3 autres langues, pour la plus grande joie des afficionados du genre.

 

Les Ailes de Feu

Le sujet? Classique: le bien et le mââââl ! Le tout soupoudré d’anges avec des ailes qui leur permettent de voler, et parfois non.

Ouais, ok, dit comme ça, ça donne pas franchement envie alors je vous recopie le résumé officiel tiens:

« Les anges n’interviennent pas dans la vie des hommes, sauf lorsqu’il est question de préserver l’équilibre du monde.

C’est pourquoi Ahriel accompagne Marla, la jeune souveraine de Karish, depuis sa naissance. Certains l’admirent, d’autres la craignent ou la jalousent, mais tous lui accordent le respect dû à son titre d’ange de la reine. Pourtant, le jour où elle parvient à déjouer un complot visant à saboter un accord de paix, Ahriel se fait piéger par un ennemi insoupçonné.

Elle est alors exilée à Gorlian, un lieu sinistre et maudit duquel personne n’est jamais revenu et dont on ignore presque tout. Accablée par la culpabilité, Ahriel se fait un devoir de s’échapper pour mettre en défaut les conspirateurs qui l’ont dupée. Mais comment voler au secours du royaume alors même que ses ailes ne la portent plus ? »

Voyez comme tout à coup cette histoire éveille votre curiosité Complice

Allez, pour ne pas que vous soyez frustrés, je vous donne un lien pour lire le premier chapitre en ligne. On dit merci qui?

Mon hibiscus et moi: une belle histoire

Au mois de juin dernier, je vous parlais d’un concours organisé par l’Office Hollandais des Fleurs sur le site maplanteetmoi.fr. En jeu: un week-end en Hollande et des plantes d’une valeur de 200 euros. Sachez que celui-ci est toujours d’actualité! Jusqu’au 10 octobre prochain, vous pouvez en effet encore participer en postant une photo de vous et de votre plante préférée. N’oubliez pas que je fais partie du jury qui déterminera les grands gagnants, il n’est donc pas interdit de me corrompre Coquin (rhooo, je plaisante hein!).

En outre, comme je vous l’indiquais également dans ce post, l’hibiscus étant la plante qui me « ressemble » le plus, l’Office Hollandais des Fleurs a eu la générosité de m’en offrir une afin que je la bichonne pendant l’été! Non seulement j’ai trouvé que c’était un cadeau vraiment délicat (quelle femme n’aime pas recevoir des fleurs?) mais en plus, quand j’ai vu l’hibiscus, MON hibiscus, je n’en ai pas cru mes yeux!

 

Hibiscus

 

Moi qui pensais recevoir une plante lambda, belle mais sans plus, j’ai été éblouie à la vue de la splendeur de ses fleurs! D’autant plus que l’hibiscus ne fleurit que 40 heures… Une pure merveille avec des fleurs roses, oranges et jaunes.

 

Hibiscus

N’ayant pas particulièrement la main verte, j’ai eu très peur que ce dernier soit victime de mon incompétence mais aujourd’hui, deux mois après, je peux fièrement vous annoncer que mon hibiscus va bien. (« hibi » pour les intimes). Oui, ma plante est toujours vivante. Elle fleurit toujours et est en bonne santé. Placée sur la terrasse au soleil, elle profite de l’agréable douceur méditerranéenne et s’épanouit comme une rose. (Sauf que c’est un hibiscus!).

Les vacances se terminant, je vais malheureusement devoir l’abandonner à des mains moins familières pour l’entretenir cependant, je fais ici la promesse solennelle que je reviendrai la voir. Entre ma plante et moi, c’est une belle histoire!