Le "Diana" Avis aux amoureux déchus du Polaroid en voie de disparition, les Lomograpy risquent bien de prendre sa place ! En effet, la célèbre marque de photographie a réussi à rééditer le légendaire « Diana ».

Revenons un peu en arrière… Début des 60’s, une petite société à Hong-Kong crée un appareil photo peu coûteux appelé « Diana », entièrement en plastique. A l’époque, un magazine de photo lui attribue le titre « de pire appareil photo jamais construit ». Vous l’aurez compris, il subit un échec total.
Dans les années 80, il réussit cependant à se faire accepter et devient même un objet culte, utilisé par des photographes de « Lo-Fi »( Low-Fidelity, en opposition à Haute Fidélité).
Cette petite merveille offre alors aux yeux des images douces et rêveuses, des couleurs sursaturées, et un côté imprévisible dans la façon de prendre des photos.
Au bonheur de tous, la réplique « Diana+ » voit le jour en 2007, pour laisser place en 2008 au « Diana F+ », qui possède un flash amovible et colorable grâce à des filtres.

Le numérique nous envahit (et nous avons déjà pu le constater, cf article sur le Polaroïd) alors soyons originales, et revenons à quelque chose de plus simple, plus rapide. Retrouvons le charme de la photo qui nous fait trépigner d’impatience au moment du développement chez le photographe du coin!
Et puis, soyons logique, une photo unique, floue, aux couleurs improbables, vaut bien plus qu’une prise de tête à vouloir faire ZE photo de ouf avec les 36 boutons et options d’un reflex.
Le magasin Colette à Paris l’a bien compris puisqu’elle a revisité l’appareil en y ajoutant des petits pois et en le signant de son enseigne. Encore plus rétro, encore plus stylé. On le veut, AB-SO-LU-MENT !

Le prix ? Entre 50 et 95€ pour la version Colette. Ok, pour un appareil en plastique, c’est pas donné, mais le résultat est vraiment top, alors on fonce !

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