Jill Elwra

Comment plaire confortablement dans ses dessous?

6 août 2009 by Jill Elwra / Tendances / 0 comments

On se prépare, on se maquille, et soudain, on aperçoit une bretelle noire qui dépasse de sa jolie robe bleue! C’est là qu’on se dit que, pour s’habiller, il faut également penser à sa lingerie. Eh oui ! La lingerie a ses propres défilés: on ne cache plus rien, et on dévoile sa petite dentelle !

1^er point: discrète ou voyante? On n’aime pas: les bretelles qui dépassent. On aime: la discrétion des bretelles transparentes et les motifs originaux. Pour tous les jours, optez pour des couleurs discrètes (rose clair, marron, beige peau, bleu foncé), c’est plus pratique à accorder avec les vêtements, surtout si ceux-ci ont une légère transparence! Pour les soirées, pensez aux triangles ou aux soutiens-gorge sans bretelles pour les dos-nu…

2^ème point: joli mais confortable! Les sportives le savent: impossible de mettre des dessous qui ne sont pas pratiques. Heureusement, maintenant, question lingerie, les créateurs font preuve de trésors d’imagination. Vous avez la brassière de sport, qui fait soutien-gorge et haut à la fois! Idéal pour ne pas avoir trop chaud en été, surtout si vous vous lancez dans le jogging! Pour la petite culotte, soyons logique: pour le sport, privilégiez la culotte style DIM ou Petit Bateau; pour tous les jours, à vous de choisir (string, taï…); pour la soirée avec Jules, sortez la fine dentelle!

3^ème point: choisir la forme et le textile. Préférez les dessous en coton, c’est confortable et beaucoup moins compliqué à laver. Pour la forme, à vous de voir: les balconnets sont très pratiques, car ils vous offrent à la fois plus de soutien et pour celles qui n’ont pas beaucoup de poitrine, c’est un moyen de la mettre en valeur!

Pensez toujours « pratique » dans vos choix: d’autant plus qu’aujourd’hui, favoriser le côté confortable n’implique pas de négliger le côté plaisant! Le mot d’ordre de la mode lingerie: le « beau-pratique »! Alors, les filles, il ne vous reste plus qu’à faire un petit tour dans les rayons pour trouver votre bonheur!

De gauche à droite et de haut en bas:

– Culottes blanches en coton et soie, Stella Mc Cartney; 63€ (net-a-porter.com)

– Soutien-gorge semi transparent, Stella Mc Cartney; 43€ (theoutnet.com)

– Soutien-gorge à bretelles amovibles, Calvin Klein; 32€ (net-a-porter.com)

– Bloomer rose, 10€ (vous pouvez en trouver sur etsy.com)

– Soutien-gorge/brassière pour le sport, Aerie; 12€ (ae.com)

– Culotte taille basse 100% coton, Petit Bateau; 8€ (placedestendances.com)

– Soutien-gorge sans bretelles, Wonderbra; 19,90€ (wonderbra.fr)

– Body en satin stretch et voile imprimé, Princesse Tam-Tam; 32,50€ (princessetamtam.com)

Stephenie Meyer : Les âmes vagabondes

5 août 2009 by Jill Elwra / Livres / 0 comments

Après la littérature jeunesse avec la série des Twilight, c’est en 2008 que Stephenie Meyer sort son premier roman pour adultes: Les Ames Vagabondes.
Beaucoup plus évolué, moins facile à lire, mais dans un style bien plus approfondi, elle crée ainsi un nouvel univers entre le fantastique et la science-fiction où évolue sa nouvelle héroïne : Mélanie Stryder.

L’histoire : la terre est envahie par des âmes qui possèdent nos esprits ! Vagabonde, une jeune âme, est envoyée sur Terre pour soutirer les souvenirs de son hôte (Mélanie), afin de découvrir où se cachent les rebelles. Mais, Mélanie, portée par l’amour qu’elle voue à son petit frère et à l’homme de sa vie qui se trouve quelque part dans le désert, résiste de toutes ses forces. Partageant toutes deux le même corps, Mélanie entraîne alors Vagabonde dans une aventure incertaine à travers le désert. Quand l’ennemie devient l’amie, les limites de l’impossible s’en trouvent alors repoussées.

Approfondissant les sentiments des personnages, Stephenie Meyer se lance dans l’exploration du moi intérieur et de la question des âmes. Un roman inoubliable sur la puissance de l’amour et ce que nous sommes, nous humains, dans notre plus profonde essence. Une lecture fantastique en perspective…

Recyclez vos vieux jeans !

31 juillet 2009 by Jill Elwra / Tendances / 0 comments

Lancement du style »made in home »! Faire de ses propres mains une tenue ou juste un vêtement vous permet de jouer la carte de l’originalité!

C’est l’été: vos jeans ont été bien usés pendant la période automne/hiver et vous les changerez probablement à la rentrée. Il faut cependant bien faire quelque chose de vos anciens pantalons et il n’y a pas trente-six solutions: vous les jetez ou vous les recyclez vous-même! La dernière solution est la plus originale!

Petit conseil avant de commencer: évitez de faire de votre style un »tout jean », associez-le avec d’autres tissus et d’autres couleurs, sinon votre silhouette devient rapidement monotone!

Quelques idées pour vous lancer:
− le short: vous découpez les jambes (attention, pas trop court) et vous faites un rebord, comme c’est la grande mode en ce moment. Économique, pratique et joli: il n’y a absolument rien de compliqué dans la réalisation de ce short. Vous pouvez ne pas faire de rebord et le laissez avec des effilochures (c’est un autre style mais ça a son effet aussi)

Avec ce qui reste (c’est-à-dire les jambes déjà découpées), les idées peuvent se développer à l’infini!
−    un bracelet: fin ou large, découpez le tissu à votre guise et de la forme que vous souhaitez. Puis, il suffit de faire un point ou un noeud pour le fixer (attention: un noeud peut déchirer le tissu si celui-ci est un peu fragile).
−    des mitaines: le travail est déjà plus compliqué. Pour celles qui s’en sortent déjà bien avec des aiguilles, c’est plus facile. Il suffit de découper la forme de votre main dans un sens puis dans l’autre, et de coudre les bords sans trop serré. Pour les plus courageuses, vous pouvez ensuite les décorer avec deux-trois accessoires de couleurs (strass…).
−    décorer un foulard: pour celles qui ont des foulards troués, un bout de jean pour cacher le tout, et le tour est joué! Vous pouvez même donner à votre foulard un style rapiécé avec un fil d’une couleur voyante. Pour celles qui sont habiles de leurs dix doigts, vous pouvez faire une alternance tissu-jean: à vous de voir!

Maintenant, c’est à vous de jouer: à vos aiguilles et à vos idées! Cette formule »made in home » est économique et faite pour vous!

Mozart l’opéra rock: l’assassin dévoilé!

30 juillet 2009 by Jill Elwra / Musique / 0 comments

Avez-vous remarqué le dernier clip en date de la comédie musicale, dont la tournée débute à l’automne? En particulier le titre de la chanson? L’Assasymphonie!

En effet, dans cette version de l’histoire de Mozart, signée Dove Attia, Mozart se fera assassiner par un musicien concurrent, son rival, Salieri. Ce troisième single a donc posé la direction prise par le réalisateur. Dommage, espérons que ce manque de suspens ne vienne pas gâcher tout le plaisir et que ce spectacle nous réserve encore quelques surprises!

En tout cas, deux musiciens de talent, dans la vraie vie comme dans l’histoire, se font désormais face: Mikelangelo Loconte dans le rôle de Mozart, et Florent Mothe dans le rôle de Salieri. Le compositeur lumineux d’un côté, et de l’autre, celui qui vit dans son ombre.
Florent Mothe, déjà connu en France où il a brûlé les planches de nombreux clubs parisiens, fait figure de petit nouveau, au côté de Mikelangelo Loconte, le bel italien qui nous tient toutes en haleine.
La production a choisi un duo de choc pour tenir la tête de l’affiche. Entre le virtuose libertin et le musicien ténébreux, la comédie musicale a de quoi charmer un large public!

Quoi qu’il en soit, même si l’effet de surprise sur la fin choisie n’a pas été retenu, l’effet médiatique est à son comble: la tension est grande, surtout chez les filles. Alors… Vous préférez lequel? Le »gentil » libertin, talentueux à souhait, ou le »bad guy »?

Les romans de demain: la « twitterature »

28 juillet 2009 by Jill Elwra / Livres / 0 comments

Premier auteur à publier son roman en intégralité sur Twitter (plateforme de micro-blogging), Mark Stewart, professionnel américain du marketting à San Francisco et désormais jeune auteur, est un pionnier unique en son genre. Ayant essuyé de nombreux refus auprès des maisons d’édition, il s’est alors lancé dans une expérience inédite: publier son roman, The French Revolution, en messages courts limités à 140 signes. C’est le récit d’une famille de San Francisco qui décide de s’inventer sa place dans l’histoire. Malheureusement pour lui, son oeuvre fait 480 000 signes; il lui faudra donc 3 800 tweets pour en venir à bout. Avis aux lectrices les plus assidues et les plus courageuses surtout: c’est un style à voir, même si la lecture devient rapidement fastidieuse!

Autre essai dans le genre: les personnages d’Ulysse de James Joyce, au nombre de 54, se sont lancés dans l’aventure ! (le chapitre 10 de cet ouvrage a été recréé par deux passionnés : Ian Bogost et Ian McCarthy). Un autre encore, ancien éditeur, James Bridle, s’est servi de deux années de messages laissés sur le site pour en faire un journal intime rétroactif. D’autres enfin, ont repris les grands classiques de la littérature anglophone qui seront d’ailleurs publiés sous forme de recueil par les éditions Penguin.

Si l’expérience vous tente, vous pouvez soit aller écrire sur ce site de micro-blogging (attention il faut alors s’abonner), soit aller consulter leurs ouvrages si le coeur vous en dit. Bonne lecture!